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Echelle d'évolution des fonctions du corps : les 4 étapes de la guérison !

Dernière mise à jour : 18 juin 2023


Index


Introduction

C'est lorsque le corps n'est plus dans un état de fatigue, qu'il ne perd plus son énergie à digérer et qu'il n'a plus besoin de lutter qu'il peut alors entrer dans un état de réparation. Le plus difficile est d'éliminer la source pathogène, surtout si celle-ci est d'ordre médical et qu'elle est niée, ou qu'elle dépend de notre propre manière d'aborder le monde. Alors, quand on dit qu'il faut lutter contre la maladie, c'est certainement l'attitude la moins appropriée. Car tant que vous êtes dans une lutte, votre corps ne pourra jamais guérir.

Comment combattre la maladie naturellement
Echelle d'évolution du corps - Secrets de la guérison

5 conseils importants

  1. La guérison est à chercher à l'intérieur de soi. L'extérieur n'est qu'une aide pour réaliser les transformations à l'intérieur. La guérison ne dépend pas que du thérapeute ou de la thérapie.

  2. Pour guérir, il faut parfois abandonner l'idée même de guérir. Il est important de pouvoir lâcher prise et de s'éloigner mentalement et physiquement de la maladie.

  3. Il faut toujours chercher la cause car cause il y a toujours, surtout quand cela devient chronique.

  4. Toute guérison n'a jamais été autre chose qu'une auto-guérison. Celle-ci dépend de la liberté de vos cellules à faire ce qu'elles savent le mieux faire : maintenir l'équilibre du milieu dans lequel elles vivent. Et ce milieu, c'est vous ! Les cellules, c'est pire que les mauvaises herbes. Ca veut vivre à tout prix. Vous n'avez pas idée du pouvoir de guérison qui se cache en elles. C'est une force aussi puissante que la gravité, tournée vers la Vie.

  5. La peur ne doit pas être notre guide. Avec la peur au ventre, nous devenons influençables, nous sommes capables de faire n'importe quoi et donc moins aptes à faire les bons choix.

L'observation du corps humain et de ses réactions montre que tout le pouvoir de guérison repose sur les cellules. Elles ont la capacité de réparer le corps d'une manière remarquable et bien au-delà de ce que nous imaginons. Mais pour qu'elles puissent le faire, il y a quatre conditions à respecter. Vous ne pouvez y accéder sans avoir rempli ces 4 étapes !


Les 4 étapes de la guérison


ETAPE 1 | LE REPOS

Dans le cadre de soins, un corps épuisé va réagir moins vite. Une personne qui vient fatiguée en consultation, ça se sent. L'organisme peine à réagir. Et là, il y a problème car toute technique - même mécanique comme le sont l'ostéopathie et la chiropractie, et même la chirurgie - utilise un levier biologique. Autrement dit : les cellules. Un organisme à plat, ce sont des cellules qui ne réagissent plus. Le corps demande à dormir en priorité absolue.

  • L'hyperacidité gastrique : si la fatigue donne des reflux, tous les reflux ne sont pas des signes de fatigue. Ces remontées acides, souvent inaperçues, sont reconnaissables par d'autres symptômes. Une peau sèche, des cheveux secs et cassants, le nez encombré au réveil, les lèvres gercées, un enrouement facile, une fragilité O.R.L., des raideurs de nuque au lever et l'impression d'être dans le brouillard dès le saut du lit sont autant de signes qui trahissent un reflux nocturne.

  • L'acidité gastrique du soir : est une demande de repos du corps parfois mal interprétée que nous confondons avec la faim. Nous grignotons alors que nous devrions respecter ces signes et aller nous coucher. Manger léger le soir est une règle importante. Le sommeil est pour dormir, pas pour digérer. Proscrivez de ce fait les produits laitiers, chocolat et alcool au dîner. Préférez les salades.

Le sommeil n'est ni du temps perdu, ni de la paresse. Vous serez étonné(e) de trouver dans le sommeil de prodigieuses ressources inconscientes que sont les rêves. Ces derniers vont dépendre de vos préoccupations diurnes. Vous récoltez ainsi la nuit ce que vous semez dans la journée. C'est pourquoi il est important de surveiller ses pensées et ce sur quoi porte votre attention. Cette remarque est importante et se retrouve naturellement dans le processus de guérison. Si vous axez votre esprit sur ce qui ne va pas, ce qui ne change pas, vous avez un aperçu de la destination. Les patients qui se focalisent sur le problème entretiennent le problème. Nous devons regarder ce qui change pour obtenir un changement.


Attention, ne confondez pas fatigue et épuisement. Dans le premier cas, le corps doit se reposer, dans le second, l'organisme lutte contre quelque chose et s'épuise (origine du burn-out d'ailleurs !). Cette distinction est importante car fatigue et épuisement n'ont pas la même solution.


ETAPE 2 | CHERCHEZ CONTRE QUOI LUTTE VOTRE ORGANISME

Epuisé, cela veut dire que l'on a dangereusement puisé dans nos réserves. Il y aura forcément une fatigue au bout car, quand on est à plat, qu'on n'a plus d'énergie, inévitablement on s'arrête. La seule activité possible reste alors le repos. C'est pour cela que l'on confond très souvent fatigue et épuisement.


Il convient de déterminer ici ce qui pompe l'organisme. S'il s'épuise, c'est parce qu'il lutte contre quelque chose. Dans cette lutte, les cellules mobilisées sont actives et cela nécessite des ressources. Le problème, c'est quand l'agression s'éternise, lorsqu'elle devient PERMANENTE.


Les agressions les plus sournoises sont celles qui passent inaperçues et stagnent. Certaines sont extérieures comme la pollution (ondes électromagnétiques, air vicié, stress au boulot, alimentation industrielle, etc.), d'autres intérieures. Ces dernières sont souvent des zones parasitaires renfermant toutes sortes de micro-organismes pathogènes (de la plus petite aux vers ronds ou plats, en passant par les champignons, bactéries, virus, etc.).


Ces zones sécrétant des toxines sont des "Foyers Toxiniques Permanents", F.T.P.

Ici, c'est le mot permanent qui est important. On les retrouve le plus souvent au niveau dentaire, mais ils peuvent se loger n'importe où (sinus, poumons, amygdales et n'importe quelle partie du système digestif comme le canal pancréatique, la vésicule biliaire ou l'intestin). L'organisme est alors engagé dans une lutte dont il n'arrive pas à bout, se traduisant par un cycle inflammatoire perpétuel, chronique, et souvent invisible.


Il n'est donc pas rare de retrouver un passé traumatique derrière ces foyers (chute, choc, opération, infection ayant laissé des séquelles tissulaires, vaccins, dentisterie, etc.). Avec de la pratique, on sait ce qu'on cherche. D'où l'intérêt de s'entourer de praticiens de santé complémentaires comme les naturopathes, les dentistes, etc. ...


Ce qu'il faut faire, c'est lever l'agent qui agresse l'organisme. Car c'est à cause de lui (les cellules essayant vainement de l'éliminer) que le territoire autour s'épuise et devient propice à la prolifération de toutes sortes de germes.


En revanche, on peut facilement déceler ces zones. Ce sont souvent des endroits qui s'enflamment régulièrement. A force, les tissus se durcissent et il n'est pas rare de trouver un ou des ganglions enflés et douloureux à la palpation. Passez votre pouce sous la mandibule et glissez le long de l'os d'avant en arrière. A tous les coups, vous découvrirez un ganglion douloureux en regard d'une couronne. Ceci montre que la dent sécrète des déchets. Il est plus que probable qu'il reste un morceau de nerf microscopique malgré la dénervation.


Au niveau des sinus, la palpation est encore plus probante. Placez l'index et le majeur sur un côté du front. Posez-les sur la peau de manière à la faire bouger par rapport à l'os. Bougez la peau latéralement plusieurs fois. Déplacez la zone d'appui. Si vous trouvez une zone douloureuse, le sinus est rempli. Vous pouvez comparer la droite et la gauche. Vous pouvez tester de la même manière au niveau maxillaire. Et si vous le faites sur quelqu'un d'autre, vous sentirez que la peau est adhérente et qu'elle bouge moins. Sur soi, on le sent difficilement.


On décèle également l'inflammation à l'aspect boudiné de la peau. Les jointures (articulations) œdématiées ou inhibées de liquide expriment une réparation. Si elle se perpétue, ce n'est pas normal. L'inflammation est chronique et pas forcément locale, mais souvent à distance, ailleurs dans le corps.


Le visage boudiné, lui, signifie une réaction inflammatoire à un aliment. Les mains continuellement enflées, moites et chaudes montrent quant à elles une inflammation centrale touchant un organe interne. Les doigts peuvent donner un indice de l'organe lésé. Notez les différences de pression des doigts lorsqu'on vous serre la main. Le pouce parle des poumons, l'index du gros intestin, l'annulaire des organes sexuels et l'auriculaire du cœur.


La répartition des graisses et la texture sont également de bons indices. Elles trahissent les glandes hormonales en cause et le système circulatoire impliqué (artères, veines ou lymphe).


Enfin, les contractions musculaires sont importantes à noter également. Elles montrent que le corps lutte contre quelque chose qui agresse et se protège. Les contractions des trapèzes révèlent un problème de bouche (dents ou mâchoires).


En cumulant ces signes, on arrive à trouver rapidement l'objet de l'inflammation. Mais ce n'est pas toujours évident quand il s'agit de l'alimentation et de médicaments.


En somme, tous les symptômes sont des poteaux indicateurs qui vous emmènent vers la cause. Il ne faut donc pas chercher à les taire d'emblée, mais à les comprendre et à les mettre bout à bout pour en saisir l'histoire, la pathogenèse.

Si on enlève la source de l'agression, l'inflammation se résorbe rapidement et il ne reste plus que deux conditions pour emmener le corps dans un processus de réparation.


ETAPE 3 | AVOIR UN SYSTEME DIGESTIF AU REPOS

Un des processus de la digestion est de rejeter du bol alimentaire tout ce qui est toxique et inutile. Pour cela, le bain acide de l'estomac est comme un pédiluve qui le stérilise. Il y a d'autres systèmes, évidemment, et tout cela montre que la digestion n'est en aucun cas un processus passif, mais mobilise des ressources et peut épuiser les organismes déjà affaiblis (par une agression chronique par exemple). Le meilleur exemple en est le coup de pompe après le repas. Cela montre bien que la digestion est un effort pour l'organisme.


C'est pourquoi toute guérison débute par une diète. Une mise eu repos du système digestif. Pas nécessairement un jeûne, mais se tourner vers une alimentation qui mobilise le moins la digestion : bouillons, soupes, fruits, légumes vapeurs, tisanes, viandes de qualité sans sauce, éviter les produits gras, le chocolat, tout ce qui est à base de lait, de farines blanches (pain, pâtes), le riz et tout ce qui forme une colle dans l'intestin. Pas éternellement, mais le temps de récupérer.


Tout cela, vous pouvez le vérifier. Si vous avez un rhume et le nez encombré, vous verrez que le nez se dégage si l'intestin est vide. Vous découvrirez quel aliment sollicite le plus la digestion, car automatiquement, et dans les minutes qui suivent l'ingestion, le nez se rebouchera. La réaction, et particulièrement son aspect immédiat, est surprenante.


Il ne faut pas tomber dans l'excès en se privant. Il est préférable de découvrir par soi-même les effets de certains aliments sur l'organisme. En exagérant par exemple la consommation de l'aliment qu'on aime le plus permet d'observer les effets sur l'organisme. Consommer des produits laitiers de manière excessive au repas du soir afin d'observer l'état du corps au réveil. L'expérience vaut tous les discours. Et, il ne faut pas oublier que ce qui est vrai pour l'un ne l'est pas pour l'autre.


Dans tous les cas, tant que le corps digère, il ne peut passer à la fonction suivante : réparer. Et là, ce n'est pas aussi évident parce qu'il existe un piège.


ETAPE 4 | LAISSER-FAIRE

La réparation n'arrive qu'en quatrième place. Ceci veut dire que pour guérir, il ne faut être ni fatigué, ni épuisé et ni en phase de digestion. Et cela donne un sens tout particulier aux jeûnes comme techniques de régénération, là où d'autres thérapeutiques échouent.


Mais il existe encore et pourtant une dernière condition : vous devez laisser les rênes à votre corps et ça, ce n'est pas du tout évident dans notre monde occidental à la fois surmédicalisé et surmentalisé.


Il faut savoir que la majorité des activités biologiques (la digestion, la respiration, l'immunité, la guérison, etc.) est inconsciente : la conscience n'y participe pas et n'a pas à le faire.


Quand on affirme n'utiliser que 10% des capacités de notre cerveau, c'est évidemment faux. Il n'existe pas de zone en friche en nous. En vérité, 99% de nos facultés sont simplement occupées par des processus inconscients. Et heureusement, car nous serions incapables de superviser ce travail titanesque.


Derrière ce besoin de tout maîtriser se cachent de nombreuse peurs irrationnelles basées sur des croyances farfelues. L'une d'elles est que l'on ne peut pas faire confiance à son organisme. Elle repose sur la conviction que le corps est bourré de défauts et qu'il tend inévitablement vers la déchéance. Dans l'absolu, c'est vrai, car on meurt tous un jour ou l'autre mais, dans les faits, c'est faux. Comment la personne aurait-elle pu arriver ici si son organisme avait été si défectueux qu'elle le prétend ? A-t-elle oublié toutes ces fois où son corps malade a guéri naturellement sans se poser de questions ?


Il s'avère que les gens interprètent souvent mal les réactions de leur organisme. Regardez combien notre société lutte contre l'inflammation alors qu'elle n'est ni plus ni moins qu'un mécanisme de guérison. Quant à l'infection, c'est un processus de nettoyage naturel.


La maladie est quelque chose de naturel. Ce qui ne l'est pas en revanche, c'est lorsqu'elle s'éternise ou bien que ces processus partent dans des excès et dépassent les capacités de gestion de l'organisme.


Le corps, lorsqu'il est malade, demande une attention bienveillante. La dernière chose dont il a besoin, c'est d'un esprit totalitaire qui impose sa volonté coûte que coûte et qui ne respecte pas ses besoins.


Une constante que l'on retrouve aussi régulièrement dans la guérison est le phénomène d'oubli. C'est quelque chose que l'on retrouve souvent en thérapie : la guérison intervient lorsqu'on vient à oublier l'existence même du problème. Un jour, vous vous demandez ce qu'est devenu ce vieux truc. Et là, au grand étonnement, plus rien !


C'est lorsque l'attention n'est plus portée sur le problème que les cellules sont entièrement libres pour le régler. Certaines femmes infertiles tombent naturellement enceintes après avoir adopté un enfant. Elles se focalisent sur une grossesse, à juste titre. Mais cela freine la réalisation de leur projet.


Notre mental immature interfère donc négativement et maintient le problème plutôt que de le résoudre.


L'attitude la plus profitable est donc de porter un regard bienveillant sur son corps, d'en prendre soin, de l'aider tout en s'en détachant et de laisser faire… en lui faisant confiance. C'est un partenaire, pas un ennemi.


L’Ostéothérapie Tissulaire Réflexe est une méthode de médecine alternative manuelle vibratoire. Elle allie la médecine chinoise et des techniques ostéopathiques.


L’ostéothérapeute intervient et travaille sur les tissus « mous » (tendons, muscles, fascias, ligaments). Il n'y a pas de craquement, ni de torsion. La méthode est efficiente car, dans 80% des cas, 1 à 3 séances suffisent pour faire disparaître les gênes et les restrictions. L’OTR n’a ni contre-indication, ni effets secondaires et relance le processus d’auto-guérison. Les résultats sont immédiats à condition de respecter quelques éléments : rester calme pendant les 8 à 10 jours suivants la séance, éviter d’autres thérapies qui "effaceraient" les soins prodigués, boire 1 verre d’eau par heure et limiter les boissons alcoolisées pendant 7 jours. Si besoin, reprendre RDV après 8 à 10 jours en fonction des résultats obtenus.


L'Ostéothérapie Tissulaire Réflexe (O.T.R.) intervient sur les différents corps de l'être humain : le corps physique, le corps énergétique, le corps émotionnel et le corps mental. Lors d'une séance d'O.T.R., on traite la personne dans sa globalité. Une pathologie au pied aura obligatoirement une incidence sur le reste du corps. Les autres articulations vont compenser ce déséquilibre et peuvent par la suite présenter aussi des pathologies. Par exemple, une lésion au genou pourra remonter au bassin, à l'épaule, aux cervicales et/ou au crâne. C'est ce qu'on appelle des suites montantes.


Sur une épaule, on pourra voir des suites descendantes (dorsales, bassin, sacrum). Une séance d'OT.R. traite toutes les suites pathologiques d'un traumatisme en regardant la personne dans sa totalité.


Lors d'une séance d'O.T.R., on redonne de la mobilité à un ou plusieurs systèmes en restriction de mobilité. La bonne mobilité d'un système est la preuve de son bon fonctionnement. Le rôle de l'ostéothérapeute est de rechercher les zones en restriction de mobilité et de les libérer.


L'O.T.R. traite les pathologies d’ordre ostéopathique les plus courantes tels que sciatiques, pubalgies, cruralgies, lumbagos, torticolis, migraines, entorses, tendinopathies, névralgies, problèmes digestifs, ORL, etc.


La pathologie exprimée par le corps n'est souvent que la conséquence, rarement la cause. La douleur n'est que la partie visible de l'iceberg.



Conclusion

Toute guérison n'est jamais autre chose qu'une auto-guérison et dépend de la compétence des cellules. Mais pour qu'elles puissent réparer, quatre conditions sont à remplir avant et dans un ordre précis :

  1. avoir son quota de sommeil ;

  2. éviter les digestions pompeuses ;

  3. supprimer toute forme de lutte ;

  4. laisser faire.

Ces conditions s'expliquent par la priorité des fonctions qui, elles, résultent du fait que le corps fonctionne avec une réserve d'énergie et qu'il ne se recharge pas aussi vite qu'on le souhaiterait parfois. L'organisme doit gérer cette énergie au plus juste sachant que certaines fonctions sont plus coûteuses et plus importantes que d'autres.



Les secrets de la guérison
Echelle d'évolution des fonctions du corps

Avec ce tableau des priorités des fonctions ressortent les inflammations "froides", celles qui passent inaperçues, dont les effets à long terme sont dramatiques et expliquent souvent pourquoi le patient ne guérit pas. Elles sont, comme nous venons de le survoler, de deux ordres : exogènes ou endogènes.


Les premières sont des agents pathogènes provenant de l'alimentation ou de l'environnement (pollution, produits toxiques, vaccins, amalgames, implants, prothèses ou proliférations parasitaires).


Les secondes sont plus perverses (car psychologiques) et dépendent entièrement de notre vécu et de notre manière de voir le monde. Il n'est pas rare que nous soyons notre propre source pathogène. Le corps lutte ainsi contre une agression purement chimérique et surtout... PERMANENTE. Là est le danger !

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